qu'est ce que tu fais là ?

Gabriel & Amy

Je n’avais rien fais de la journée à part dormir, la fête de hier soir m’avait complètement épuiser. Je ne m’étais pas lever de toute la journée, j’hiberne. J’ai fait des réserves de nourritures, je ne sors que le soir maintenant. Je ne voulais pas sortir ce soir sauf si s’il y a une bonne raison. J’avais chaud dans mon lit, j’étais bien. Il y avait toujours quelque chose qui allait m’énerver ; j’avais mal fermé la fenêtre. Du coup il commençait à faire froid, je devais me mettre en mode sushi sous ma couette alors ! J’étais toujours en tenue de soirée ; j’avais oublié de me changer. Je portais une robe bustier noir en cuir, même s’il elle semblait très serrée elle était vraiment confortable. J’avais quand même enlevé mes chaussures ; des boots noir à talons. Le truc juste galère à mettre ! Je tendis le bras pour essayer d’attraper mon portable, mais je n’y arrivais pas. J’étais censés hiberner c’est vrai ! Sous mon lit, il y avait pleins de sachets de bonbons, de nourriture. Oui j’ai fait mes réserves et alors ? Ce n’est pas vraiment la classe, mais on s’en fiche ! Personne n’est censé venir me rendre visite aujourd’hui, c’était vingt heures passer. Quoi que si la personne est folle… Non je ne veux vraiment pas sortir ce soir, j’ai envie de dormir, de manger, de dormir et encore de remanger ! Je commençai à tourner dans tous les sens, au final je tombai par terre. J’avais mal au dos, à la tête partout quoii. Je n’avais pas envie de me relever du coup j’allais rester par terre. Je suis sûr que si mon frère me voyait là, il allait s’affoler comme un fou.

J’ai mal, je souffre. Je vais mourrirrrrr !

Dis-je en me roulant par terre, en tapant des pieds par terre. Une folle, oui ? Je ne vois pas de quoi vous parlez là, franchement. Il m’arrivait souvent d’avoir des crises de folies comme cela ; mais c’est rare. Quoi que. Sans faire attention je donnai un coup dans un cadre, le verre se brisa et comme par hasard je me coupai sur la main. Je regardai le sang qui coulait de ma main, si je me mettais à pleurer tout le monde allait être alerté. Mais fuck, j’avais mal je saignais ! Je me mis à pleurer, heureusement que je n'étais pas maquiller sinon imaginer le résultat ! Je fis attention à ne pas tâcher ma magnifique robe, j'étais décoiffé. On aurait dit une sauvage, avec mon autre main je pris ma brosse et me coiffa à la va vite. Il m'arrivait de faire pleins de choses quand je pleurais oui oui. Grâce à mon alice j'allais guérir vite, mais des fois cela prenne du temps alors autant me soigner vite ! C'est alors que j'entendis des pas dans le couloir, j'étais assise en tailleur la main en sang ; j’espérais que c'était quelqu'un qui allait m'aider sinon j'allais me vider de mon sang là !

Sinner

G.D&Tae

Hey Miss! Vas te coucher, Cendrillon elle ne se promène pas après minuit.

Belle petite soirée en perspective, la nuit est tombée depuis bien longtemps en cette saison d'hivers il n'y a rien d'anormal à ça. Pour ne pas nuire a ma réputation de nocturne, je traine dans les couloirs, me cachant au moindre sons inconnu. Le bruit de mes rangers est peut discret mais je fais avec, me remuant, dansant sur une musique aux sonorités silencieuses.
Le couloir n'en fini pas j'ai l'impression d'être dans l'un de ses films où le héro meurt juste à la fin... mais je suis bien trop sexy pour qu'on touche au bel acteur que je serai.
Continuant à marcher en me trémoussant je suis à la recherche de la sortie, avec une furieuse envie de rencontré la gente féminine qui vie la nuit, et puis ça va faire aux moins trois jours qu'aucune créature au corps de rêve ne m'a offert une place dans le tanière de tigresse, je dois réparer la faute au plus vite! Je connais les environs comme ma poche, une fois sortie je commence à aller dans le bar plutôt sympa, mais surtout où le barman est pas radin sur les verres, je me ramène quelques gonzesses, on va en boites dire de les chauffer un peu et je verrais par la suite si je bat mon records du nombre de fille en une seul fois dans la nuit. Ouais le plan idéal!
Un petit sourire plein de vices vient s'afficher sur le coin de mes lèvres, voilà une nuit comme je les aime.

Au passage du dortoirs de ses dames, je remarque que la lumière dans la chambre de ma princesse n'est toujours pas éteint. Fidèle à elle même, la frangine doit encore squatter le creux de son lit, avec je ne sais combien de paquet de gâteau sur les genoux, plongée dans son drama les yeux remplie de larmes, ou simplement avec toutes les autres filles qui parlent autant qu'elle.
alors que je me décide à la laisser seul, trouvant cela déplacer d’emmener sa petite soeur pour ce genre de sortie je continue ma route, mais alors que j'avais dépasser sa porte j'entendis un bruit sourd.

-J’ai mal, je souffre. Je vais mourrirrrrr !

Mon cœur manqua un bon, pensant déjà au plus pire des scénario je rebrousse chemin pour rentrer dans sa chambre. Je me voie déjà me battre, ou alors courir à l’hôpital avec la plus douce des fleurs dans mes bras, j'ouvre la porte brusquement... la miss est là, toute tranquille en train de se peigner, habiller comme une... une prostitué! ELLE SAIS QUE JE VEUX AS QU'ELLE PORTE CA!

-Qu'est ce qu'il y a? tu fais quoi encore debout, couches toi!

Je prononça ses mots d'un ton ironique, comme si j'étais bien placé pour lui dire ça, et puis rien de mieux que sa compagnie. Je baisse les yeux pour tomber nez à nez avec sa blessure, moment de panique, ma princesse saigne, elle se vide son sang oh mon Dieu, appelez les urgences!
je me précipite sur elle, la relève et regarde sa main.

-Comment tu t'es fais ça? Vient on va à l'infirmerie.

La blessure n'est pas grave, c'est juste le fait qu'elle vient juste de s'ouvrir qu'elle saigne beaucoup. Je prend la première chose que j'ai sous la main et lui passe autour de la sienne.

Code by AMIANTE

qu'est ce que tu fais là ?

Gabriel & Amy

Je ne savais pas quand ma blessure allait se refermer, il fallait que j’entende de la musique. Oh je sais ; j’allais faire mes yeux made in chat potté pour qu’il m’emmène en soirée. Mais je ne voulais vraiment pas aller en soirée, j’étais vraiment fatigué. Oublie la soirée, il ne va jamais accepter ! Il ne veut pas que je m’habille avec des tenues de soirées, je ne porte que cela. S’il regarde mon armoire, je peux dire adieu à tous mes habits ! Je vais me retrouver à poils, mes habits seront réduits en cendre et... J’irai me pendre, mais ça à l’air de faire mal. Il ne faut pas que j’essaie, je tiens à ma vie, à mon corps, à ma tête ; bref à moi quoi. Je saignais de moins en moins, mais j’avais mal. Je suis sûr que tout le monde à dût m’entendre crier, ils étaient habitués ! Ils savaient que je passais la nuit à regarder des films, à sortir et tout quoi. En tout cas ; je savais que si Gabriel passait par là il allait m’achever. Il n’aime pas que je m’habille comme ça, que je sorte en soirée et que je parle à d’autres garçons why ? Je regardai le bout de verre qui m’avait coupé la main, il y avait un peu de sang dessus. J’avais fait fort là ! Il faut que j’arrive à contrôler ma folie ; c’est juste passager. Quand je m’y attendais le moins, mon frère rentra dans ma chambre. Rien qu’à voir sa tête, j’ai cru qu’il allait me tuer. Pour la tenue car, soi-disant je suis trop jeune. Car j’avais une tête de fatigué, il y avait pleins de déchets de gâteaux, de bonbons partout. Bref, ma fin était proche :

Qu’est ce qui y à ? Tu fais quoi encore debout, couches toi !
Ce n’est que vingt heures même pas ; d’abord je n’ai pas l’intention de me coucher !

Lui lançai-je d’un ton moqueur en lui tirant la langue, sauf qu’il venait de voir que je saignais. Je fis une tête genre j’ai rien c’est bon ne t’en fais pas. J’essayai de reculer, mais celui-ci se précipita sur moi en me prenant la main :

Comment tu t’es fait ça ? Vient on va à l’infirmerie.

Aller à l’infirmerie, juste pour ça ? Hu. No comment cette fois, je le regardai. Je fis ma tête de chat potté avant de mettre une photo d’Adam devant sa tête. J’aimais l’embêter :

Tu sais que Adam je l’aime presque plus que toi ? Attention tu as un nouveau concurrent hein !

Dis-je en lui tirant la langue, je posai la photo et il me mit quelque chose pour entourer ma main. J’étais en face de lui, les yeux tous rouges car, je venais de pleurer. Comédie bien sûr, j’étais doué pour faire la comédie ! J’étais sûr qu’il allait me faire une critique sur ma tenue je lui sautai dans les bras histoire qu’il ne me fasse pas de remarque. Comment ça se fait qu’un mec ça n’ait quasiment jamais froid ? Quand Gabriel dormait avec moi, il me servait de chauffage ! Je lui fis un câlin comme si je ne l'avais pas vu depuis des jours en lui disant dans l’oreille :

Tu ne veux pas emmener ta sœur chérie en soirée avec toi ? Si tu refuses, je te ferai du boudin toute ta vie, tu seras privé de câlins et de bisous aussi.

Autant tenter, s’il refuse je lui bouderai toute la vie !